La fin d’Absalom, peu glorieuse, constitue un avertissement pour quiconque maltraite les autres, surtout ceux que Dieu a oints. (Lire Proverbes 3:31-35.) Une bataille s’engage, à l’issue de laquelle les troupes d’Absalom battent en retraite. Absalom lui-même s’enfuit sur un mulet, mais son abondante chevelure se prend dans une des branches basses d’un grand arbre, où il reste suspendu, vivant, mais sans défense. Yoab le tue alors en lui ‘ enfonçant trois tiges dans le cœur ’. — 2 Sam. 18:6-17.
David se réjouit-il en apprenant ce qui est arrivé à son fils ? Non. Il arpente sa chambre, pleurant et criant : “ Mon fils Absalom, mon fils, mon fils Absalom ! Ah ! que ne suis-je mort à ta place, Absalom mon fils, mon fils ! ” (2 Sam. 18:24-33). Il faut l’intervention de Yoab pour empêcher David de sombrer dans le désespoir. Quelle fin tragique pour Absalom ! Son ambition aveugle l’a incité à combattre son propre père, l’oint de Jéhovah, et l’a conduit au désastre. — 2 Sam. 19:1-8 ; Prov. 12:21 ; 24:21, 22.
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(Romains 8:31) Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous?