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 Le don de sang "éthique" menacé en France

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alain 425
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alain 425


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MessageSujet: Le don de sang "éthique" menacé en France   Le don de sang "éthique" menacé en France Icon_minitimeLun 7 Nov - 13:53

EXCLUSIF. Le don de sang "éthique" menacé en France
Le Point.fr - Publié le 07/11/2011 à 09:41 - Modifié le 07/11/2011 à 09:45
Le gouvernement envisage d'importer du plasma issu de dons rémunérés. Une remise en cause fondamentale du don de sang en France.
C'est une décision du gouvernement qui pourrait bien bouleverser le don de sang en France. Alors que l'Hexagone risque une pénurie de plasma, le ministère de la Santé envisage d'importer ce produit sanguin de l'étranger. Une première en France, où le don de sang est extrêmement encadré, en particulier depuis l'affaire du sang contaminé, et notamment régi par un principe - jusqu'ici - inaltérable : la gratuité. Un principe qui fonde l'essence même du don "éthique" français.

L'objectif de la gratuité est double. D'abord affirmer un choix philosophique : le corps ne peut se vendre, il est inaliénable, seul un don est possible. Mais aussi optimiser la sécurité. Car, si le don de sang était rémunéré, il serait à craindre que certains donneurs, motivés par l'appât du gain, ne biaisent leurs réponses au questionnaire et à l'entretien préalable au prélèvement. Or celui-ci permet au médecin de déceler de potentiels risques pour le donneur ou pour la personne à qui est destiné le sang recueilli. La règle de la gratuité n'a ainsi jamais été remise en cause depuis la première loi régissant la transfusion sanguine, en 1952. Pourtant, c'est bien ce principe-là qui est aujourd'hui menacé.

Inactivation impossible ?

La France "fabrique" son propre plasma, en le rendant, après prélèvement, inoffensif sur le plan viral. Le plasma peut être "inactivé" par trois méthodes. La première, utilisée pour 75 % du plasma français et appelée SD, n'est possible que grâce au "solvant détergent" produit dans une usine située à Bordeaux... qui est actuellement en arrêt technique. Une autre possibilité est de traiter le plasma au bleu de méthylène (BM) : une méthode caduque depuis une décision publiée dans le JO du 3 novembre dernier, interdisant le "plasma bleu". L'arrêt concomitant de la fabrication de ces deux plasmas a donc conduit inévitablement à une pénurie.

Pour y remédier, l'Établissement français du sang, établissement public opérateur de la transfusion sanguine en France, a proposé plusieurs scénarios de rechange. Mais le ministère de la Santé n'en a validé aucun à ce jour et s'orienterait, en revanche, plutôt vers l'importation de plasma. Une éventualité qui pourrait devenir réalité, à tel point que les organisations syndicales de l'EFS ont été averties dès jeudi 4 novembre de la probable décision du ministère.

La France se tournerait alors vers une entreprise basée en Suisse, Octapharma. Mais celui qui se revendique "leader européen des médicaments dérivés du plasma" ne peut garantir que son plasma est "100 % éthique". Un problème colossal à même de remettre en cause ce principe fondateur de santé publique auquel les donneurs et le personnel travaillant en transfusion sont très attachés.

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MessageSujet: Re: Le don de sang "éthique" menacé en France   Le don de sang "éthique" menacé en France Icon_minitimeMar 8 Nov - 12:23

il y a plus de besoin mais moins de donneurs .entre nous ceux qui nous critiquent.devraient donné l'exemple.
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Gédéon

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MessageSujet: Re: Le don de sang "éthique" menacé en France   Le don de sang "éthique" menacé en France Icon_minitimeMar 13 Mar - 8:56

Depuis la fameuse affaire du « sang contaminé, tous les échantillons sont examinés, selon les méthodes les plus modernes. D'autre part, les donneurs éventuels sont soumis à un interrogatoire, concernant notamment leurs habitudes sexuelles (utilisation ou non de préservatifs) et ceux qui ne sont pas sûrs sont écartés.
Est-ce cela suffit à dire que les transfusions ne présentent plus le moindre risque ?
Malheureusement, il serait illusoire de le prétendre. Même si toutes les précautions sont prises, il subsiste certains aléas qu'il est impossible, avec la meilleure volonté du monde, de supprimer totalement. Pas d'alarmisme, cependant : ces risques sont infimes ; ils sont moins importants, par exemple, que ceux de n'importe quelle intervention chirurgicale.

Les tests de dépistage sont efficaces dans l'immense majorité des cas. Il se peut, cependant, qu'ils n'arrivent pas à déceler la présence du virus.
Comment est-ce possible ?
Cela vient d'une particularité de certaines maladies, et notamment du sida. Il faut savoir, en effet, qu'il existe une période d'incubation au cours de laquelle ce virus n'est absolument pas détectable dans le sang. Quand une personne contracte le sida, il se passe quelques semaines (environ deux mois) durant lesquelles son organisme n'émet aucun anticorps, en réponse au virus. Or, ce sont les anticorps que détecte le test de dépistage. Si, durant ce temps de latence, cette personne donne son sang, il est donc malheureusement impossible de s'apercevoir que ce sang est contaminé.
Le sida n'est pas seul en cause. Deux autres maladies fonctionnent exactement selon le même principe : l'hépatite B et l'hépatite C.
L'hépatite B, qui se transmet par voie sanguine et sexuelle, n'est pas une maladie anodine, mais sa gravité est sans commune mesure avec celle du sida. Par ailleurs, on peut s'en protéger, depuis 1981, car il existe un vaccin.
L'hépatite C, transmissible exclusivement par le sang, pose des problèmes plus sérieux. En effet, cette maladie évolue, dans la moitié des cas, en hépatite chronique ; laquelle entraîne parfois des cirrhoses ou des cancers du foie. Les risques mortels, liés à l'hépatite C, sont d'environ 10%. Il s'agit donc d'une maladie redoutable... Or, on ne dispose pas de tests parfaitement fiables pour la dépister. On ne cesse d'améliorer leur efficacité et, cependant, dans 20 % des cas, l'hépatite C est indécelable dans un prélèvement sanguin.
C'est donc pour cette maladie que le risque transfusionnel reste le plus élevé. Cependant, en dehors du dépistage, d'autres techniques limitent encore le danger. C'est ce que l'on appelle « le fractionnage du sang ». Au lieu de transfuser la totalité du produit sanguin, on en extrait les différents principes, ce qui présente un double avantage :
• Avec la même quantité de sang, on peut soigner plus de patients. Etant donné la pénurie qui existe dans ce domaine, l'intérêt est considérable.
• Les produits extraits, comme les facteurs de coagulation que l'on destine aux hémophiles, l'albumine que l'on administre aux victimes d'hémorragies pour maintenir leur pression artérielle, ou les immunoglobulines destinées aux personnes souffrant de déficits immunitaires et à la prévention de maladies in-traités, soit par chauffage, soit par injection de molécules chimiques antivirus. Résultat : ces produits sont totalement inoffensifs.
Pourquoi cette technique n'est-elle pas utilisée dans tous les cas ?
Simplement parce que c'est médicalement impossible. Pour combattre certaines hémorragies, ou certaines anémies, par exemple, on est obligé d'employer les globules rouges, les plaquettes sanguines ou le plasma frais. Or, ces composants-là sont fragiles ; on ne peut les chauffer ou les traiter sans les détruire.
Au total, les risques restent vraiment minimes. Lorsqu'on subit une transfusion sanguine, on court, en ce qui concerne le virus du sida, un danger évalué à 1 sur 20 000 (encore faut-il exclure de ce chiffre les sujets hémophiles, pour lesquels le risque est maintenant nul, en raison du chauffage des produits injectés).
Pour l'hépatite B, la proportion est aussi faible : 1 transfusion sur 20 000. Reste l'hépatite C qui, comme on l'a vu, est la maladie la moins facile à repérer dans les échantillons sanguins : le danger est donc beaucoup plus élevé, de l'ordre de 1 à 2 pour 1000.


Il existe, enfin, une parade radicale contre les risques (minimes, rappelons-le !) de la transfusion : c'est ce que l'on appelle l'auto-transfusion.
Le principe en est, apparemment, très simple : il consiste, en cas d'opération programmée, à se faire prélever en deux ou trois séances le sang qui sera nécessaire à l'intervention. Là, évidemment, le danger de contamination est balayé. Cependant, cette méthode se heurte à de nombreuses contre-indications.
Le sujet doit en effet être en parfaite santé, pour pouvoir préfabriqué ses globules rouges, après chaque prélèvement. De ce fait, l'auto-transfusion est interdite aux sujets anémiques, aux personnes souffrant de troubles respiratoires, cardiaques, ou d'insuffisance rénale, et aussi aux enfants.
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MessageSujet: Re: Le don de sang "éthique" menacé en France   Le don de sang "éthique" menacé en France Icon_minitimeMar 13 Mar - 9:37

A retenir

Le risque central de conflit antigène - anticorps lors d’une transfusion sanguine
La gestion du risque dû aux anticorps naturels réguliers anti-A ou B par les règles de compatibilité ABO
Le risque lié aux hémolysines anti A-ou B des donneurs O dangereux
Le risque lié à la présence d’anticorps immuns irréguliers chez le receveur, la détection par la RAI
Le nombre variable de systèmes antigéniques concernés par la compatibilité selon les situations pathologiques : du minimum ABO RhD à des phénotypages étendus ou des vérifications in vitro de la compatibilité entre sérum du receveur et globules du donneur.
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MessageSujet: Re: Le don de sang "éthique" menacé en France   Le don de sang "éthique" menacé en France Icon_minitimeJeu 15 Mar - 17:34

Sur la transfusion sanguine

Lundi 12 Mars 2012
La sécurité de la transfusion sanguine est-elle menacée ? Tribune Libre d’Axel Kahn
Axel Kahn, hématologiste et ancien membre du Comité Consultatif National d’Ethique, s’inquiète des possibles conséquences pour la sécurité sanitaire de la transfusion sanguine d’une réforme envisagée avant l’échéance électorale de mai.

La contamination en France et dans le monde de centaines de milliers de personnes transfusées par des virus divers et des dysfonctionnements importants du système transfusionnel ont conduit dans notre pays à une réforme essentielle en 1993 et 1998 :
- les activités de collectes et de transformation du sang sont confiées à l’Etablissement Français du sang (EFS).
- l’Institut National de la Transfusion Sanguine (INTS) est une instance indépendante qui assure la veille et la sécurité sanitaire de la transfusion en lien avec les principes éthiques auxquels la France se réfère : anonymat et gratuité du don, etc.

Or, l’INTS pourrait être supprimé dans les jours qui viennent avant même les prochaines échéances électorales. L’équilibre entre un établissement chargé de la collecte, de la transformation et de la commercialisation du sang et de ses dérivés, d’une part, un dispositif indépendant chargé du contrôle de la sécurité et du respect des principes éthiques, d’autre part, apparait essentiel à Axel Kahn.

La rupture de cet équilibre lui semble faire planer des menaces sur le système transfusionnel français.

La pratique de la transfusion sanguine a été rendue possible par la découverte des groupes sanguins, en 1900, par Karl Landsteiner. Pratiquée sur une très petite échelle dès 1918, elle se répand durant la guerre de 39-45. Il s’agit surtout jusqu’en 1944 d’une transfusion directe d’un donneur à un receveur. Ensuite, cette méthode héroïque laisse la place à la collecte et à la conservation du sang, selon deux logiques. L’une est commerciale, elle fait appel à des donneurs rémunérés et s’impose aux Etats-Unis, dans de nombreux pays du monde en dehors de l’Europe et en Allemagne où stationnent les troupes américaines. En dehors de notre voisin d’Outre-Rhin, s’impose sur notre continent le principe du don anonyme et gratuit. Il est consigné dans la loi française de 1952 qui organise le système transfusionnel national dont les fondements éthiques deviendront une référence.

Selon cette vision, la beauté et la grandeur du don exigent son caractère bénévole. Sinon, il ne s’agirait pas d’un don, mais d’un commerce. Le don du liquide de vie représente une forme sublimée de solidarité, les donneurs sont valorisés à leurs propres yeux et à ceux de la société. Dans les entreprises, les travailleurs se rendent en groupe aux collectes organisées, conscients de la signification de leur engagement collectif. Les camions de prélèvement sillonnent les chemins, les routes et les rues du pays, et nul doute que ceux qui s’y rendent ressentent cette sorte d’ivresse légère, de dilatation de l’âme née de l’accomplissement d’une bonne action, surtout lorsque la société toute entière la valorise à ce point.

Cet exemple du don du sang et de ses principes constituera le socle de la réflexion éthique dans notre pays. Le fait que le premier Président du Comité Consultatif National d’Ethique créé par François Mitterrand en 1983 soit le Professeur Jean Bernard, un hématologiste célèbre rompu aux pratiques et à l’esprit de la transfusion sanguine, y contribue.

Les éléments essentiels de cette pensée éthique « à la française » sur le corps et ses dérivés sont les suivants : la personne ne saurait se réduire à son corps mais ne peut non plus en être dissociée. Qui attente au corps attente aussi à la personne, à sa dignité et/ou à sa sécurité. Il convient par conséquent de protéger des personnes mues par l’état de nécessité contre l’usage qu’elles pourraient elles-mêmes être amenées à faire de leurs corps et de ses produits. De ce fait, les produits, les parties et les organes du corps doivent impérativement être préservés d’une logique commerciale. Certes, la personne doit impérativement consentir à tout usage de son corps et de ses produits, elle ne peut cependant les aliéner au titre d’un contrat commercial.
La valeur morale élevée de cette pensée devait hélas contribuer à affaiblir la vigilance des professionnels quant aux questions de sécurité : sans doute pensaient-ils de manière inconsciente qu’une action aussi bonne ne pouvait se révéler dangereuse. La transmission dramatique des virus de l’hépatite B, de l’hépatite C et du Sida à des centaines de milliers de personnes allaient constituer un électrochoc pour notre pays.


En particulier, les soubresauts du scandale du sang contaminé, les dysfonctionnements graves au sein du Centre National de la Transfusion Sanguine (CNTS) allaient aboutir à une totale réorganisation du système transfusionnel français. L’un de ses fondements est la séparation entre, d’une part, la collecte par l’Etablissement Français du Sang (EFS) et, d’autre part, l’évaluation et la veille sur la sécurité transfusionnelle au sein de l’Institut National de la Transfusion Sanguine (INTS). L’INTS est d’un point de vue juridique un groupement d’intérêts public dont le mandat est arrivé à expiration le 31 décembre dernier. Une décision urgente doit par conséquent être prise qui peut être de reconduire la structure, de la transformer ou de la liquider.

De son côté l’EFS est soumis à des contraintes redoutables : alors que la promesse d’émergence de sang artificiel ou de production en culture des éléments figurés du sang tardent à être exaucées, il existe dans notre pays une tendance forte à la démobilisation des donneurs volontaires qui trouve sans doute ses origines dans la stigmatisation générale de l’action collective et solidaire. De façon parallèle, les techniques de transformation du sang en toute une série de produits fractionnés et plus ou moins modifiés confèrent à l’EFS une position charnière dans la mise en œuvre d’un véritable « projet industriel » reposant sur le sang et ses dérivés.

Les pressions sont de ce fait lourdes pour qu’évolue le principe de la gratuité des dons, voire qu’il y soit mis fin de manière à garantir un approvisionnement sécurisé d’un véritable process industriel aux retombées commerciales considérables. De nombreuses sociétés privées sont impliquées dans cette industrie biotechnologique et pharmaceutique reposant sur le sang. Elles font bien entendu pression en faveur de l’évolution vers un marché du sang, de sa collecte à la vente de ses produits.

Dans ce contexte, l’INTS apparait un peu comme une entrave dont beaucoup rêve de se débarrasser. Il se pourrait bien que sa mise à mort définitive soit déjà programmée de manière à devenir effective avant les prochaines échéances électorales en France. Ce serait un désastre. Le passé a démontré avec cruauté le risque de pratiques transfusionnelles reposant sur la seule logique du marché, les principes gestionnaires l’emportant sur ceux de la réflexion éthique et la meilleure sécurité.


Eviter la réédition des dérives du CNTS dans les années 83-86 exige que persiste, à côté d’un EFS doté des moyens de ses légitimes ambitions, une instance indépendante chargée d’assurer la continuité en termes de veille sanitaire et de discussions sur les possibles évolutions du corpus éthique dont notre pays a toutes les raisons de s’enorgueillir. Cette dernière pourrait de manière logique être adossée à l’Agence Nationale de Sécurité des Médicaments.

Evitons qu’à la faveur de la compétition électorale en cours, dans une atmosphère délétère de fin de règne et pour céder à d’indicibles pressions, un ultime règlement de compte ne mette à mort une instance dont le seul objectif est de se prononcer de manière indépendante sur les principes de l’éthique et de la meilleure sécurité des patients.
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MessageSujet: Re: Le don de sang "éthique" menacé en France   Le don de sang "éthique" menacé en France Icon_minitimeDim 14 Juil - 6:55


CHENNAI: La joie d'avoir un bébé fut de courte durée pour les jeunes Deborah du Nigeria où les médecins ont dit à sa fille, Yvonne Omolola Ariyo, avait un trou dans le cœur et aurait à subir une intervention chirurgicale.

Le fait que la famille appartenait à des témoins de Jéhovah , une communauté qui fuyait les transfusions sanguines, les questions compliquées. Mais une équipe de médecins de l' hôpital Miot a procédé à une opération à cœur ouvert sans effusion de sang le 7-month-old Yvonne semaine dernière en lui donnant un nouveau souffle de vie.

Quand elle était de 3-month-old, Yvonne a commencé à avoir des problèmes respiratoires et sa croissance est de une halte. "Elle a refusé de manger et de respirer aurait très fortement. Son nom signifie de l'enfant est une richesse», mais il était très difficile de la voir souffrir autant quand elle était si peu. " rappelle Deborah.

Garder les questions de coût à l'esprit, Deborah décidé de se Yvonne traitée en Inde et a été renvoyé au Miot où deux opérations similaires ont été effectuées plus tôt.

Quand Yvonne a atterri à Chennai mois dernier, elle a eu des infections respiratoires aiguës et la diarrhée. Les tests ont montré qu'elle souffrait d'une communication interventriculaire - il y avait un grand trou entre le ventricule droit et gauche et le sang devenait shunté vers les poumons causant la congestion.

"Il a été doublement compliqué de faire une chirurgie sans effusion de sang sur elle car elle était trop jeune et l'insuffisance pondérale. Nous avons donc dû mettre ses taux d'hémoglobine et faire quelques ajustements techniques avant de fonctionnement ", a déclaré le Dr Robert Coelho, chirurgien cardiaque pédiatrique en chef, qui a pratiqué l'intervention.

Dr Coelho dit qu'il avait une orientation moment difficile des parents de l'enfant.

«Il y avait trop de risques que les taux d'hémoglobine d'Yvonne étaient déjà faibles, mais ses parents ont refusé une transfusion. Témoins de Jéhovah ne préfèrent pas le don de sang, même autologue, où le sang est prélevé chez un patient semaines à venir et s'est incliné pour une utilisation ultérieure", a déclaré le médecin .

Pendant la chirurgie, le 4 Juillet, les médecins ont cessé son cœur et ont utilisé une machine cœur-poumon artificiel pour la circulation et fait en sorte que le sang ne soit pas dilué. «Nous avons utilisé une machine miniature cœur-poumon et empêchés amorçage excessive de sang quand il mélangée avec une solution saline. Filtres hémo ont été utilisés pour éliminer le plasma du sang pour les cellules sanguines restent concentrés et également utilisé des médicaments pour contrôler le saignement", a déclaré le Dr Coelho.

Smaller incisions ont été faites et la chirurgie a été réalisée rapidement afin d'éviter la perte de sang. Yvonne a été réanimé plus tard et sevré de la ventilation, le lendemain. L'état du bébé est stable et qu'elle reviendrait au Nigeria dans les deux prochains jours. "Les transfusions sanguines ont leurs propres engagements comme des réactions indésirables et de transmission d'infections comme l'hépatite et le VIH . Ainsi nous encourageons nos patients à aller pour les chirurgies sans effusion de sang, autant que possible, "a déclaré le Dr
http://theworldnewsmedia.org/Bloodless+heart+surgery+saves+infant?&utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=Weekly_Study_Materials_15_July_2013_&_Bloodless_Surgery_-_Latest_News_Reports

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MessageSujet: Re: Le don de sang "éthique" menacé en France   Le don de sang "éthique" menacé en France Icon_minitimeMar 16 Juil - 16:26

Une nouvelle étude canadienne conteste la pratique répandue de la transfusion de sang précoce et agressive dans saignements patients traumatisés.

L'ancienne approche devait donner accident de voiture et d'autres patients traumatisme saline - eau additionnée de sel - par voie intraveineuse et de sang que si les tests ont montré qu'ils étaient anémiques de sang la perte ou le sang ne coagule pas été correctement. Beaucoup de patients sont morts de saignements incontrôlés.

Puis, en 2007, les médecins militaires américains travaillant en Irak et en Afghanistan ont déclaré que les soldats de saignements étaient plus susceptibles de survivre si les médecins ont commencé la transfusion de grandes quantités de sang immédiatement sans attendre les résultats de sang.

Maintenant, une nouvelle étude publiée dans réanimation de l'édition de cette semaine du Journal de l'Association médicale canadienne comparant à base de sang par rapport à la réanimation conventionnelle trouve plus le gaspillage de sang et de complications chez les patients automatiquement transfusés avec du sang, mais avec aucune différence dans les taux de mortalité.

L'étude est le dernier à s'interroger sur la sécurité et les avantages de transfusions sanguines, aujourd'hui l'une des procédures les plus éculés de la médecine.

L'hémorragie est la principale cause évitable de, les décès à l'hôpital chez les patients traumatisés, Dr. Sandro Rizoli, directeur du programme de traumatologie à l'Hôpital St. Michael de Toronto, et co-auteurs écrivent dans le JAMC.

Des études antérieures ont montré que, quelques minutes après un traumatisme majeur - comme un accident de voiture, chute de hauteur, coup de fusil ou de coups de couteau - un patient sur ​​quatre ne peut pas coaguler correctement. Leurs corps libèrent des quantités massives de substances naturelles qui empêchent la formation de caillots, ce qui augmente leur risque de saigner à mort.

"Si vous saignez d'un trou dans votre foie, et pour couronner le tout votre corps ne peut pas former de bons caillots, c'est une mauvaise combinaison », a déclaré Rizoli.

Jusqu'en 2007, "un patient viendrait des saignements, vous essayez d'arrêter l'hémorragie et en même temps commencer intraveineuse saline - rien de plus que de l'eau et du sel", at-il dit. "Si le travail de sang a montré que votre patient a besoin de sang, vous devriez donner du sang."

L'étude armée américaine a rapidement changé la façon dont les centres de traumatologie dans le monde entier réanimer. «La norme est de traiter les patients avec une grande purge en supposant qu'ils ne font pas la coagulation et transfuser immédiatement avec du sang", a déclaré Rizoli.

Le système de transfusion utilise une combinaison de parties égales de globules rouges, le plasma - la partie liquide du sang qui contient les facteurs de coagulation et des plaquettes. -, ce qui rend le sang collant et plus susceptibles de former des caillots

l'équipe de Rizoli mené la première étude randomisée de la formule - savoir que 01:01:01 - dans 78 patients traumatisés traités au Centre des sciences de la santé Sunnybrook à Toronto.

propos la moitié des patients (40) ont été affectés au hasard au groupe de transfusion automatique, les 38 patients restants "groupe de contrôle" ont subi des transfusions laboratoire guidées.

L'étude a montré plus le gaspillage de sang dans les 01:01:01 patients et les complications respiratoires plus que les patients doivent être connectés aux ventilateurs mécaniques, sans différence significative dans les taux de mortalité.

"C'est l'une des premières études à montrer,« nous devons être prudents ici, »dit Rizoli.

01:01:01 Le protocole pourrait être exposer les patients à des transfusions sanguines inutiles "et un risque accru de syndrome de détresse respiratoire aiguë, une septicémie et une défaillance multiviscérale," écrivent les auteurs.

Rizoli dit que des études plus grandes et meilleures sont nécessaires pour évaluer la sécurité des



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MessageSujet: Re: Le don de sang "éthique" menacé en France   Le don de sang "éthique" menacé en France Icon_minitimeMar 14 Jan - 11:03

Revue Médicale Suisse
Revue Médicale Suisse N° 88 publiée le 22/11/2006
Hémorragie et transfusion : le cas des Témoins de Jéhovah
Article de P.-G. Chassot C. Kern P. Ravussin

La prise en charge de patients Témoins de Jéhovah est un défi particulier pour le chirurgien, l’anesthésiste et le réanimateur. Elle est basée sur un contrat thérapeutique établi à l’avance et spécifiant les engagements de chacun. Elle réclame tout le savoir-faire des soignants pour minimiser les pertes sanguines et pour assurer un transport d’oxygène adéquat dans une situation d’anémie aiguë. Elle exige de tout mettre en œuvre pour respecter l’autonomie du patient, y compris la recherche de collègues prêts à assumer la décision de ne pas transfuser quoiqu’il arrive. Elle demande surtout à tout le personnel soignant de respecter un ordre de valeur souvent en contradiction avec le sien. Elle implique de ne pas juger les valeurs qu’on ne partage pas et de lutter, y compris contre soi-même, pour la liberté de pensée de chacun.

http://www.chu-rouen.fr/page/detail/fr/MSH_D_033221

http://titan.medhyg.ch/mh/formation/art ... ?sid=31805

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MessageSujet: Re: Le don de sang "éthique" menacé en France   Le don de sang "éthique" menacé en France Icon_minitimeDim 11 Oct - 15:33

Comment les Témoins de Jéhovah changent Médecine
PAR AMANDA SCHAFFER
PARTAGERTWEET

CRÉDIT ILLUSTRATION PAR REBEKKA DUNLAP
Ceci est le premier d'une série en trois parties, "médecine sans effusion de sang," sur les moyens que les Témoins de Jéhovah ont changé la façon dont les médecins pensent à la transfusion sanguine. Lire les deuxième et troisième tranches, "Si quelqu'un être donné une transfusion sanguine?» Et «L'éthique de la médecine sans effusion de sang."

Dans le livre des Actes, l'apôtre Paul exhorte fidèles à s'abstenir "de choses sacrifiées aux idoles, du sang, des animaux étouffés, et de l'impudicité." Les Témoins de Jéhovah, apparemment le seul parmi les groupes chrétiens, croire ce verset, ainsi que d'autres , leur interdit d'accepter des transfusions sanguines, peu importe la gravité de la situation. Comme Joan Ortiz, un témoin dans la soixantaine, m'a dit récemment, il est autant un péché de prendre une transfusion sanguine à avoir une liaison extraconjugale. Dans cette interprétation de l'Écriture, ceux qui respectent aura prospérer et jouir d'une bonne santé. Ceux qui ne peuvent pas être coupés de leur peuple et a nié la résurrection. «Tout autour de nous est effectuée dans notre sang», a dit Ortiz. "Notre personnalité, de nos maladies, toutes les bonnes choses de nous. Il est ce que nous sommes. Il est de notre âme. "Il ne doit pas être mélangé, même si la vie en dépend.

Bien que les témoins acceptent presque toutes les autres interventions médicales, la sténose contre la transfusion peut affecter leurs soins. Les patients peuvent avoir besoin de sang du donneur quand ils perdent rapidement leur propre sang, à la suite d'un accident ou d'une chirurgie voiture, ou quand ils développent exemple l'anémie sévère, pour, au cours du traitement du cancer. Dans les dernières décennies, des programmes spécialisés en "médecine sans effusion de sang" qui répondent à des Témoins de Jéhovah ont grandi à des dizaines d'hôpitaux.

Étonnamment, l'expérience de médecins dans ces programmes a souvent amenés à commander le sang beaucoup moins fréquemment pour d'autres patients, aussi bien. Certains experts de la médecine sans effusion de sang ont également aidé à diriger un mouvement national appelant à une utilisation plus économe de la transfusion. Le sang du donneur est livré avec des risques pour tous les patients, y compris la possibilité de réactions immunitaires et des infections. Et les essais cliniques ont montré que, pour une large gamme de conditions, les pratiques transfusionnelles restrictives ne conduisent pas à de moins bons résultats que les libéraux. Au cours des dernières années, l'American Medical Association a inscrit la transfusion comme parmi les thérapies les plus surexploitées en médecine.

Une institution qui a fait œuvre de pionnier dans la médecine sans effusion de sang est Englewood Hospital Medical Center et, dans le New Jersey. Englewood a longtemps attiré les patients de partout dans le pays et le monde à son programme de spécialité, et il est où, au début de Mars, je me suis retrouvé avec Joan Ortiz. A huit heures du matin, elle avait été préparée pour la chirurgie et a été attendent avec impatience dans un OU brillant, en tant que membres du personnel démêlées tube, accroché des sacs de fluide, et prêt à retirer une tumeur de son abdomen et la colonne vertébrale. Une casaque bleue et blanche a été drapée sur son petit cadre. Sa cheveux teints noir, se sont réunis plus tôt ce matin dans une queue de cheval jeune latéral, était maintenant lâche autour de ses épaules. Ortiz vit en Floride, mais elle est née dans le Bronx d'une mère juive et d'un père chrétien et elle a passé une grande partie de sa vie à Long Island. À l'âge de dix-sept, elle a épousé son premier mari, et à dix-huit ans, elle a commencé à penser sérieusement à la religion. Lorsque les témoins de Jéhovah ont frappé à sa porte un jour et offerts à étudier la Bible avec elle, elle a été réceptif à leur portée. Comme la conversation progresse, elle a trouvé leur connaissance textuelle convaincant, avec la promesse que les justes vivre pour l'éternité sur terre. "Je ne voulais pas être à la hauteur dans le ciel," dit-elle. "Je ne voulais pas les ailes.» Finalement, elle a été baptisé comme un témoin de Jéhovah, et puis elle et les membres de sa nouvelle communauté a persuadé le reste de sa famille à se joindre à la religion, aussi.

Ortiz avait jamais été auparavant dans une salle d'opération. Elle avait, en fait, "jamais eu quelque chose de pire que le rhume ou la grippe." Mais en Janvier, elle avait commencé à ressentir une légère pression dans son côté, comme si elle devait se rendre à la salle de bains. Au cours des prochains jours, la douleur intensifiée et elle a commencé à entraver. Après consultation avec les médecins et la réception d'un scanner, elle a été diagnostiquée avec un schwannome vertébrale et rétropéritonéale, une tumeur qui est né d'un nerf dans la colonne vertébrale et gonflé vers l'extérieur dans son abdomen. Les biopsies ont montré qu'il n'y avait pas malin, mais il avait grandi décochée, probablement pendant des années, et se enroulés autour de tissu nerveux, les vaisseaux sanguins et les os.

Avec le recul, Ortiz a dit qu'elle pense que ce type de courses tumorales dans sa famille. Des décennies plus tôt, sa mère, qui vivait chez elle, avait ressenti des vertiges et des étourdissements et se précipita vers la salle de bains. Quelques minutes plus tard, ce qui ressemblait à «ce grand chose d'énorme de la taille d'un ballon de football est tombé sur elle et de projection dans les toilettes et injectés de sang un peu partout." Sa mère ne savait pas à propos d'une tumeur, mais quand il se déchaîna, «Je ne pouvais entendre le sang qui coule d'elle," glou, glou, glou. "Elle a été enveloppé de caoutchouc noir épais et transporté à l'hôpital en ambulance, mais il est décédé peu après. "Elle savait qu'il n'y avait rien à faire», a dit Ortiz. "Elle était fidèle et loyal. Alors elle a dit une prière et est allé dormir ".

Lorsque Ortiz a reçu le diagnostic de schwannome, elle était engagée à éviter le sort de sa mère, mais a déclaré que, comme sa mère, elle ne serait jamais envisager une transfusion. Elle signait pour un hôpital en Floride qu'elle croyait être sensible à ses croyances. Les médecins là, cependant, a dit que la chirurgie impliquerait trop de perte de sang et ne pouvait être effectué en toute sécurité sans transfusion. À un deuxième hôpital, également en Floride, Ortiz a de nouveau été détourné. "Nous devons utiliser du sang," elle a dit un médecin lui a dit, "et si tu ne vas pas le prendre, nous ne pouvons rien faire ici." Enfin, elle tendit la main à Englewood, qui, depuis les années nonante- , a développé une réputation pour effectuer neurologique complexe, vasculaire, et les chirurgies orthopédiques, dont beaucoup peuvent entraîner des pertes de sang importante, sans l'utilisation de la transfusion. Abe Steinberger, un neurochirurgien qui a été traite témoins depuis vingt ans, a accepté de travailler avec Ortiz. "Nous allons devoir être méticuleux dans la dissection de la tumeur et de nous assurer de stopper l'hémorragie avant qu'il ne commence," Steinberger lui a dit, avec confiance soutenue. Ortiz a décidé de voyager au nord.

Pourtant, la médecine sans effusion de sang exige plus de compétences chirurgicales, comme lui-même a également souligné Steinberger. Elle repose sur une myriade de petites précautions et coordonnée, techniques sanguins économie qui commencent bien à l'avance de la chirurgie. Lorsque Ortiz avait tests pré-opératoire fait en Floride, sur les conseils d'une infirmière qui était familier avec les témoins, elle a insisté pour que le préleveur utiliser des tubes de pédiatrie et d'en tirer le minimum possible.

Dans la ou au Englewood, Ortiz était couché sur le ventre, sur un grand coussin conçu pour empêcher la compression des veines, comme un jeune anesthésiste nommé Margit Kaufman allègrement et en toute confiance revérifié les tubes autour d'elle. Kaufman première tournée de Englewood en 2012, tout en complétant une bourse en médecine de soins intensifs. La culture du respect de la volonté des patients, la charge de son travail avec les Témoins de Jéhovah, de l'hôpital l'attira à-tout comme les compétences de ses médecins avaient cultivé dans les soins pour ces patients. L'hôpital minimise désormais l'utilisation de la transfusion, même dans ceux qui ne nous opposons pas à la pratique, et qui, dans d'autres établissements, seraient susceptibles de recevoir du sang. Kaufman a déclaré qu'il était presque un an avant qu'elle transfusé un seul patient de salle d'opération à Englewood, un contraste frappant avec son expérience lors de la formation, où elle a fourni la procédure plusieurs fois par mois.

Au signal de Kaufman, une infirmière anesthésiste a commencé à prélever du sang à partir Ortiz. Il était surprenant, au premier abord, de voir flux riche, marron liquide hors de son corps et entrez les longs tubes de plastique mince à travers lequel il se rendrait à un sac de collecte sur le sol. Mais le plan était de garder ce sang en réserve, jusqu'à la fin de l'opération (ou un moment de crise) quand il pourrait être re-perfusion. Dans l'intervalle, un fluide pâle, appelé hétamidon, coulait dans le corps de Ortiz, diluer sa circulation sorte que quand elle a saigné elle perdrait moins de globules rouges. Kaufman avait promis de ne jamais détacher le tuyau reliant le corps de Ortiz dans le sang; il resterait partie d'un circuit supplémentaire dans son point de vue, jamais réellement «laissant». (Beaucoup de Témoins de Jéhovah opposent à des transfusions de leur propre sang si elle a été stocké à l'extérieur pendant une période prolongée.)

Lorsque Steinberger fait une incision dans le dos de Ortiz et a commencé à travailler jusqu'à sa colonne vertébrale, aspiré le sang coulait aussi dans un petit appareil sur le sol, une machine appelée cellule sauvetage. Le sang passé d'abord à travers un filtre, qui enferme des morceaux de matière grasse et de l'os, puis est entré dans le réservoir, où il filé une centrifugeuse pour séparer les globules rouges du sang. Ceux-ci ont ensuite été lavées avec une solution saline et on les filtre à nouveau, de sorte qu'ils puissent être retournés à l'organisme par la suite. Typiquement, l'équipe récupère chaque cellule rouge possible, même aspirer le sang de morceaux de gaze utilisée sur le site chirurgical, Kaufman m'a dit. "Dans la plupart des RUP, ils jettent tout ce que l'écart."

Bien sûr, pas tous les cas se déroule selon le plan. Plus âgés Témoin de Jéhovah qui a subi une intervention chirurgicale à Englewood eu une anémie sévère et il est mort dans l'ICU lorsque ses organes ont échoué, une situation que la transfusion aurait très bien pu être évitée. "Cela a été très difficile", a déclaré Kaufman, qui a été directement impliqué dans l'affaire, mais a refusé de partager d'autres détails. "Mais nous avons eu à nous rappeler que nous respections ses désirs. Les patients ont le droit de déterminer leurs soins. "Dans un autre cas, lorsque Steinberger opérait sur une jeune femme de la Louisiane qui avait une grosse tumeur de cerveau, elle a commencé à l'hémorragie, et il a décidé d'arrêter la chirurgie. Lui et ses collègues lui a fermé et a attendu plusieurs semaines, période pendant laquelle elle a été traitée pour construire son taux de globules rouges. Puis elle est retournée à l'OR et Steinberger a complété la chirurgie.

En début d'après midi, il avait débranché la tumeur de la colonne vertébrale de Ortiz, et une deuxième équipe est arrivée à travailler sur la partie dans son abdomen. "Maintenant, si ils tirer sur elle, je ne suis pas inquiet, nous aurons une catastrophe épouvantable," dans lequel son moelle épinière serait endommagé et pourrait devenir paralysé, at-il dit. Le personnel de salle d'opération tourna Ortiz sur son côté, et les chirurgiens entrants se sont positionnés sur les côtés opposés de la table, puis fit une nouvelle incision. Penché en, avec des phares se touchant presque, ils ont coupé à travers le muscle et exposés la majeure partie de la tumeur: un orbe blanc lumineux teinté de sang. Finalement, ils démêler à partir d'une phalange de vaisseaux sanguins. Lyall Gorenstein, chirurgien thoracique qui avait été à Englewood pour environ un an, dirigé dans le salon des médecins, visiblement soulagé. Il avait effectué quatre ou cinq interventions chirurgicales sur les Témoins de Jéhovah, mais cela avait été un des plus grands. «Il est très stressant comme un chirurgien, face à une tumeur qui a le potentiel pour une hémorragie massive et en sachant que vous ne disposez pas de l'option de la transfusion," me dit-il. "Il est comme un trapéziste sans filet de sécurité."

Quelques heures plus tard, quand Ortiz se réveilla, elle pouvait s'asseoir par elle-même dans une chaise. Le lendemain, elle a été en mesure de se lever et faire quelques pas. Les médecins lui ont dit qu'elle aurait besoin de "marcher, marcher, marcher,» qui, elle plaisanté, est ce que les Témoins de Jéhovah aiment faire de toute façon, du porte à porte et de parler de leur foi.

Lire les prochains versements de la série, "Si quelqu'un être donné une transfusion sanguine?» Et «L'éthique de la médecine sans effusion de sang."

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