Lundi 17 novembre
Je ne puis endurer le recours aux pouvoirs magiques (Is. 1:13).
La pratique du spiritisme a joué un rôle considérable dans la pensée du XIXe siècle. On parlait alors souvent de « spiritualisme ». Voici ce qu’on pouvait lire dans Le Phare de la Tour de Sion de mai 1885 : « La croyance selon laquelle les morts continueraient à vivre dans d’autres sphères ou sous une autre condition n’est pas nouvelle. Elle faisait partie intégrante des religions de l’Antiquité, et se trouve à la base même de toute mythologie. » L’article ajoutait que l’idée non biblique selon laquelle les morts peuvent communiquer avec les vivants « a permis aux démons de tromper facilement les humains sans être démasqués, en se faisant passer pour des esprits de défunts désincarnés. Ils se sont servis abondamment de ce travestissement et ont ainsi conservé leur influence sur l’esprit et la vie de quantité de gens. » Quelques années plus tard, la brochure Le spiritisme et autres manifestations des esprits diaboliques à la lumière des Écritures contenait des avertissements du même ordre. Des publications plus récentes ont renouvelé ces mises en garde. w13 15/2 2:11.
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(Romains 8:31) Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous?