Comme nos frères du Ier siècle, nous endurons avec joie quand nous souffrons à cause de la bonne nouvelle (1 Pierre 4:12-14). Non, nous n’aimons pas subir menaces, persécution ou emprisonnement. Mais nous éprouvons une satisfaction profonde à rester intègres. Citons l’exemple de Henryk Dornik, qui a souffert pendant des années sous des régimes totalitaires. En août 1944, son frère et lui ont été envoyés dans un camp de concentration. On disait d’eux : “ Il est impossible de les convaincre de faire quoi que ce soit. Ils trouvent de la joie dans leur martyre. ” “ En réalité, explique-t-il, je ne souhaitais pas être un martyr, mais le fait de souffrir avec courage et dignité en raison de ma fidélité à Jéhovah me procurait de la joie. ” — Jacq. 1:2-4.
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(Romains 8:31) Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous?