Il n’est pas bon que l’homme reste seul. Je vais lui faire une aide qui lui corresponde (

Vendredi 8 janvier
Il n’est pas bon que l’homme reste seul. Je vais lui faire une aide qui lui corresponde (Gen. 2:18).
Ce don de Dieu était exceptionnel : la femme allait être pour l’homme une aide parfaite. Elle aurait aussi l’honneur très particulier de mettre des enfants au monde. En fait, « Adam appela sa femme du nom d’Ève, parce qu’elle devait devenir la mère de tout vivant » (Gen. 3:20 ; note). Quel don extraordinaire de Dieu au premier couple ! Ils avaient la capacité d’engendrer d’autres humains parfaits. Par ce moyen, la terre deviendrait à terme un paradis peuplé d’humains parfaits, qui tiendraient dans la soumission les autres créatures vivantes (Gen. 1:27, 28). Pour recevoir les bénédictions qui étaient placées devant eux, Adam et Ève devaient obéir à Jéhovah et accepter son autorité (Gen. 2:15-17). C’était à ces seules conditions qu’ils pourraient accomplir le dessein de Dieu les concernant. Malheureusement, sous l’influence du « serpent originel », Satan, ils ont péché contre Dieu (Rév. 12:9 ; Gen. 3:1-6). w14 15/8 1:1-3.

Avant la création d’Ève, Dieu a déclaré : “ Je vais lui faire [à Adam] une aide qui lui corresponde. ” (Genèse 2:18). L’expression “ une aide qui lui corresponde ” signifie-t-elle que la femme est inférieure à l’homme ? Non, d’ailleurs, cette expression hébraïque peut aussi être rendue par “ son vis-à-vis ” ou “ sa pareille ”. Prenons l’exemple d’un chirurgien et d’un anesthésiste. L’un peut-il travailler sans l’autre ? Ce serait compliqué ! Leurs rôles sont complémentaires. C’est le chirurgien qui fait l’opération, mais est-il plus important que l’anesthésiste ? De la même façon, Dieu a créé l’homme et la femme pour qu’ils collaborent étroitement, pas pour qu’ils soient en compétition. — Genèse 2:24.