Tout sarment en moi qui ne porte pas de fruit,

Tout sarment en moi qui ne porte pas de fruit, [mon Père] l’enlève, et tout sarment qui porte du fruit, il le purifie, pour qu’il porte plus de fruit. — Jean 15:2.
Vous soumettez-vous volontiers à l’influence purificatrice de la parole de vérité ? Par exemple, comment réagissez-vous lorsqu’on vous met en garde contre des divertissements avilissants (Ps. 101:3) ? Évitez-vous de fréquenter étroitement vos camarades ou vos collègues qui ne partagent pas vos croyances (1 Cor. 15:33) ? Cherchez-vous de tout cœur à vaincre les faiblesses qui risquent de vous rendre impur du point de vue de Jéhovah (Col. 3:5) ? Restez-vous à l’écart des querelles politiques de ce monde ? Rejetez-vous l’esprit nationaliste qui imprègne beaucoup de rencontres sportives (Jacq. 4:4) ? Votre obéissance dans ces domaines vous vaudra des bienfaits. Jésus a comparé ses disciples oints aux sarments d’une vigne, comme l’indique le texte d’aujourd’hui. Si, vous aussi, vous vous soumettez à l’influence purificatrice de la parole de vérité, vous produirez plus de fruit. w10 15/7 3:17, 18.

Bonjour,

Dans l’exemple de la vigne, Jéhovah “ enlève ” tout sarment qui ne porte pas de fruit. Que faut-il en déduire ? Non seulement que tous les disciples sont tenus de porter du fruit, mais encore que tous en sont capables, quelles que soient leur situation ou leurs limites. En effet, ne serait-il pas incompatible avec son amour que Jéhovah “ enlève ”, autrement dit désavoue, un disciple du Christ sous prétexte que celui-ci n’arrive pas à faire quelque chose qui est au-dessus de ses forces ? — Psaume 103:14 ; Colossiens 3:23 ; 1 Jean 5:3.

E.D. Abiya votre serviteur