*** Texte pour le mercredi 15 février 2012 ***
Nous devons avoir des paroles mesurées et aimables tant au travail et dans le ministère que dans la congrégation et au foyer. Celui qui donne libre cours à sa colère sans se préoccuper des conséquences peut nuire gravement à sa santé spirituelle, affective et physique, ainsi qu’à celle des autres (Prov. 18:7). L’animosité, manifestation de notre nature imparfaite, doit être maîtrisée. Les injures, les railleries, le mépris et la colère malveillante n’ont rien de bon (Col. 3:8 ; Jacq. 1:20). Ces comportements peuvent détruire nos précieuses relations avec nos semblables et avec Jéhovah. Jésus a déclaré : “ Tout homme qui continue d’être en colère contre son frère en répondra devant le tribunal ; mais celui qui profère contre son frère un inqualifiable terme de mépris en répondra devant la Cour suprême ; tandis que celui qui dit : ‘ Fou abject ! ’ sera passible de la géhenne de feu. ” — Mat. 5:22. w10 15/6 4:7.
Commentaire :
Cultivez de sages réflexes. Quand, dans une atmosphère tendue, la colère vous envahit, il est d’ordinaire préférable de prendre congé, le temps qu’elle se dissipe (Prov. 17:14). Si votre interlocuteur se fâche, redoublez d’amabilité. Souvenez-vous : “ Une réponse, lorsqu’elle est douce, détourne la fureur, mais une parole qui cause de la douleur fait monter la colère. ” (Prov. 15:1). Même dite posément, une remarque mordante, agressive, mettrait le feu aux poudres (Prov. 26:21). Alors, quand votre maîtrise est éprouvée, soyez “ lent à parler, lent à la colère ”. Priez pour que par son esprit Jéhovah vous aide à n’avoir que des paroles gentilles. — Jacq. 1:19.