Nous comparaîtrons [tous] devant le tribunal de Dieu.

Nous comparaîtrons [tous] devant le tribunal de Dieu. — Rom. 14:10.
Personne parmi nous ne voudrait délibérément juger Dieu. Cependant, face à une situation que nous estimons injuste ou à des épreuves personnelles, nous pourrions facilement, en raison de notre nature imparfaite, commettre cette erreur. Même le fidèle Job l’a commise. Quand il a été frappé par une série de malheurs qui lui ont paru injustes, il en est venu à déclarer “ juste son âme plutôt que Dieu ”. (Job 32:1, 2.) Job ignorait que des rassemblements d’anges se tenaient au ciel, où Satan l’accusait mensongèrement (Job 1:7-12 ; 2:1-6). Il ne se doutait pas que Satan était à l’origine de ses problèmes. À vrai dire, rien n’indique qu’il ait su qui était réellement Satan. Aussi a-t-il conclu à tort que Dieu était responsable de ce qui lui arrivait. Par conséquent, si nous pensons de même, n’oublions pas qu’il est vraiment facile de tirer de mauvaises conclusions quand on n’a pas connaissance de tous les faits. w10 15/10 2:9-11.

J’aime le Père. — Jean 14:31.
Parce qu’il aimait sincèrement son Père céleste, Jésus prenait plaisir à faire la volonté divine et il a été heureux de présenter son corps en sacrifice. Il lui était également agréable de savoir que la valeur de son sacrifice parfait pourrait être offerte à Dieu comme rançon pour nous racheter de l’esclavage du péché et de la mort. Dieu a-t-il agréé Jésus quand il s’est présenté pour assumer d’aussi grandes responsabilités ? Il n’y a aucun doute à ce sujet. Les quatre évangélistes attestent que Jéhovah Dieu a agréé Jésus lorsqu’il est remonté des eaux du Jourdain. “ J’ai vu l’esprit descendre du ciel comme une colombe, rapporte Jean le baptiseur, et il est demeuré sur [Jésus]. [...] Et j’ai vu cela, et j’ai témoigné que celui-ci est le Fils de Dieu. ” (Jean 1:32-34). De plus, en cette circonstance, Jéhovah a déclaré : “ Celui-ci est mon Fils, le bien-aimé, que j’ai agréé. ” — Mat. 3:17 ; Marc 1:11 ; Luc 3:22. w10 15/8 1:10, 11.