Il a donné des dons en hommes. — Éph. 4:8.

Il a donné des dons en hommes. — Éph. 4:8.
Notre attitude à l’égard des frères spirituels de Christ constitue un critère déterminant sur la base duquel nous serons jugés lors de la grande tribulation à venir (Mat. 25:34-40). Par conséquent, si nous voulons obtenir la bénédiction de Dieu, il nous faut, entre autres choses, soutenir fidèlement ses oints. Les membres des comités de filiale, les surveillants itinérants et les anciens des congrégations, tous établis par l’esprit saint, sont aussi des “ dons en hommes ”. (Actes 20:28.) Leur responsabilité première consiste à nous bâtir pour que “ nous parvenions tous à l’unité dans la foi et dans la connaissance exacte du Fils de Dieu, à l’état d’homme adulte, à la mesure d’une stature, celle de la plénitude du Christ ”. (Éph. 4:13.) Certes, comme nous, ces frères sont imparfaits. Mais si nous acceptons leur direction bienveillante, nous nous attirerons la bénédiction de Jéhovah. — Héb. 13:7, 17. w10 15/12 3:18-20.

Que chacun continue à chercher, non pas son propre avantage, mais celui de l’autre. — 1 Cor. 10:24.
La vie du chrétien est bien remplie ; nous consacrons beaucoup de temps à nos nombreuses activités théocratiques. Nous considérons donc tout naturellement que notre temps est précieux. Nous comprenons, par voie de conséquence, que nous ne devrions pas abuser du temps de nos compagnons. D’ailleurs, ne leur sommes-nous pas reconnaissants quand eux-mêmes se montrent raisonnables et n’accaparent pas le nôtre ? Toutefois, nous comprenons également qu’en étant disposés à interrompre nos activités pour consacrer du temps à l’un de nos compagnons, nous démontrons que nous le respectons. C’est comme si nous lui disions : ‘ Tu as énormément de valeur à mes yeux. Il est plus important pour moi de te consacrer du temps que de continuer ce que je suis en train de faire. ’ — Marc 6:30-34. w10 15/10 3:17, 18.

Le souci du bien d’autrui est étroitement lié à l’humilité. L’apôtre Paul a écrit : “ Que chacun continue à chercher, non pas son propre avantage, mais celui de l’autre. [...] Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu. Gardez-vous de devenir des occasions de trébucher pour les Juifs ainsi que pour les Grecs et pour la congrégation de Dieu. ” (1 Corinthiens 10:24-33). Il ne nous demandait pas de renoncer à toute préférence personnelle, mais plutôt de ne rien faire qui puisse enhardir quelqu’un à violer un interdit de sa conscience.